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Si l'art était conté...

  • Ma galerie imaginaire : Si les oeuvres parlaient

     

    édition, BoD, recueil, matisse

     

    Ce recueil vient de m’arriver flambant neuf. Il est le troisième de la série « Si les œuvres parlaient » entamée il y a quelques années.

    Afin de valoriser les œuvres en couleur accompagnant mes textes, les deux premiers recueils « Conter la peinture » et « Deux petits tableaux », que je souhaitais, prétentieusement, être de petits livres d’art, avaient été imprimés, uniquement chez BoD, sur un papier photo brillant 200 g. J’ai un problème, je ne peux parler de peinture sans montrer les toiles ! La qualité de l’image couleur est, à mes yeux, de la même importance que les textes eux-mêmes !

    À mon grand regret, la hausse exorbitante du papier photo utilisé pour cette série ne permet plus l’impression habituelle autrement que sur du papier normal 90 g, limitant de ce fait la qualité de l’image.

    Comme pour mes précédentes publications de la série, le plaisir a motivé l’élaboration de ces seize récits en 162 pages illustrées en couleur. De nombreux artistes sont présents. Une dizaine de nouveaux m’ont conté leurs œuvres :

    . Gustave Courbet a une particularité : c’est un jouisseur. Le hasard de ses promenades en bords de Seine va l’amener à croiser quelques-unes des « Femmes damnées » de Baudelaire.

    . Jean Fouquet, le plus ancien, m’a dévoilé Agnès Sorel, la maitresse de Charles VII, en Vierge au sein dénudé, à la beauté insolente. Je ne m’en suis pas encore remis.

    . Le siècle de Maupassant… Que de dangers couraient ces lavandières qui nettoyaient leur linge le long des cours d’eau ! Eugène Boudin nous invite à les rencontrer.

    . Un original ! Les amis d’Edgard Degas l’appréciaient. Était-il un véritable impressionniste ? Je pense avoir trouvé la réponse !

    . Après sa période « Fauves » à Collioure, Henri Matisse se transforme en scénariste du mystère, peignant, à Nice, des jeunes femmes alanguies devant des ouvertures donnant sur le ciel et la mer.

    . Pourquoi les corps dénudés des adolescents sur les plages espagnoles obsédaient-ils tant le peintre Joaquin Sorolla en ce début de 20e siècle ?

    . Vincent Van Gogh est séduit par le style du Hollandais Frans Hals dont il va s’inspirer.

    . Berthe Morisot, seule femme du groupe impressionniste, conte, dans un courrier adressé à sa sœur Edma leur première exposition accueillie sous les sarcasmes.

    . Pouvais-je deviner que Georges de la Tour me ferait partager son secret ?

     

    À tous ceux pour lesquels l’art permet d’aller plus loin.

     

    Alain

     

    http://www.httpsilartetaitconte.com/

    https://librairie.bod.fr/catalogsearch/result/?q=alain+yvars

     

  • Exposition Georges de La Tour 2025 musée Jacquemart-André

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    Georges de la Tour – Le nouveau-né, 1648, Musée des beaux-arts de Rennes

     

    L’exposition actuelle du musée Jacquemart-André présente 23 œuvres originales et des tableaux d’atelier ou d’artistes proches de la mouvance de La Tour. Le jour de ma première visite lors de la grande retrospective de 1998, j’étais tombé sous le charme des toiles dites « nocturnes » du maître peintes vers la dernière partie de sa vie, peut-être après le grand incendie qui ravagea sa ville de Lunéville en 1638. Nombre d’entre elles m’avaient éblouie. J’en décris quatre, mes préférés, qui sont visibles à Jacquemart-André jusqu’au 26 janvier 2026. Elles sont superbement mises en valeur dans ce remarquable musée haussmannien.

    Nous n’avons plus affaire aux violents clairs-obscurs du Caravage, dramatiques dans les contrastes de lumière. La palette de La Tour n’est que douceur : harmonies de rouges, de bruns et de blancs, animées par la lueur d’une bougie ou d’une torche. Parfois, la main d’un personnage est traversée par une flamme. Éblouissant ! Il sait tirer des effets inédits de l’éclairage artificiel. Comment pouvais-je ne pas le rapprocher de Johannes Vermeer, par le nombre d’œuvres connues retrouvées vers la même époque (guère plus d’une quarantaine pour les deux peintres) et, surtout, par la vision de leurs toiles qui ne sont qu’intimité, recueillement, dépouillement, silence ?

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    Georges de la Tour – La femme à la puce, 1638, Musée des beaux-arts de Nancy

    « La femme à la puce » : Ce chef-d’œuvre interroge. Que fait cette femme enceinte, à moitié dévêtue, ventre pesant, qui semble écraser une puce sur sa poitrine ? Elle parait plutôt égrener un rosaire. La précision est difficile car la vermine était fréquente à cette époque ! La flamme d’une chandelle posée sur une chaise proche d’elle sculpte son corps dont on ne sait s’il représente une femme du peuple ou une prostituée que l’érotisme latent laisse soupçonner. Certains parlent de « Madeleine ». La lumière douce confère à l’œuvre une atmosphère de quiétude complice.

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    Georges de la Tour – La Madeleine au miroir, 1635, National Gallery of Art, Washington

    « La Madeleine pénitente » ou « Madeleine au miroir » : Il s’agit de l’une des nombreuses « Madeleine » connues du peintre. Peut-être la plus célèbre. L’émotion religieuse est intense. La sainte semble baignée dans une sorte d’extase. Sa main appuie délicatement sur le crâne posé devant elle dont elle contemple le reflet dans le miroir. Ses pensées se perdent-elles dans ses souvenirs de séductrice ? Entrevoit-elle la mort et le mystère de la vie ? L’originalité de cette Madeleine tient au fait que la moitié inférieure du tableau est plongée dans la nuit, accentuant la lumière de la partie supérieure qui éclaire le visage de la femme.

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    Georges de la Tour – Job raillé par sa femme, 1635, Musée départemental d'Art ancien et contemporain, Épinal

    « Job raillé par sa femme » : Cette étonnante toile est surtout intéressante par le jeu visuel des personnages. La femme de Job, grande femme, s’incline fortement vers son mari, âgé, maigre, noueux. Il semble l’implorer, craignant d’être rabroué pour sa faute. Leurs regards sont suffisamment expressifs pour suggérer leur conversation animée.

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    Georges de la Tour – Le nouveau-né (détail), 1648, Musée des beaux-arts de Rennes

    « Le Nouveau-né » : Le chef-d’œuvre le plus connu de La Tour que le Musée des Beaux-Arts de Rennes a la chance de détenir. Une œuvre intemporelle ! Cette naissance d’un petit être possède un sens universel. La Vierge tient maladroitement son enfant dont sa mère, Sainte-Anne, adoucit la luminosité de la flamme d’une bougie qu’elle cache avec sa main. La simplification des formes, une tonalité rouge subtilement graduée, laissent penser qu’il s’agit de l’une des dernières toiles peintes, vers 1648, à la même époque que le Saint Sébastien soigné par Irène en hauteur du Louvre dont je parlerai dans un prochain texte.

     

    Aujourd’hui, la place de Georges de La Tour est devenue celle de l’un des grands artistes de son temps, proche des Vermeer, Hals, Vélasquez, Caravage et Rembrandt.

  • Van Gogh d'après Jean-François Millet

     

    Van Gogh, Millet,

    Vincent Van Gogh – Premiers pas, d’après Jean-François Millet, 1890, Metropolitan Museum, New York

     

    À l'automne et à l'hiver 1889-1890, alors qu'il était patient volontaire à l'asile de Saint-Rémy, Van Gogh peignit vingt et un exemplaires d'après Millet, un artiste qu'il admirait. Il considérait ses copies comme des « traductions » s'apparentant à l'interprétation par un musicien de l'œuvre d'un compositeur.

     

    Lettre de Vincent Van Gogh à son frère Théo, le 20 septembre 1889

     

    « Ce que je cherche là-dedans et pourquoi il me semble bon de les copier, je vais tâcher de te le dire. On nous demande toujours, à nous autres peintres, de composer et de n’être que compositeurs.

    Très bien, mais dans la musique il n’en est pas ainsi et si telle personne joue du Beethoven elle y ajoutera son interprétation personnelle. En musique et, surtout pour le chant, l’interprétation d’un compositeur est quelque chose, et ce n'est pas une règle absolue que seul le compositeur joue ses propres compositions.

    Je pose devant moi comme sujet le dessin en noir et blanc de Delacroix ou de Millet, ou d’après eux. Puis j’improvise de la couleur là-dessus, mais étant moi-même, pas complètement bien sûr, mais en quête de souvenirs de leurs tableaux. Mais le souvenir, la vague consonance de couleurs qui partagent le même sentiment, sinon juste, c’est ma propre interprétation.

    Beaucoup de gens ne copient pas. Beaucoup d'autres copient. Personnellement, je m'y suis mis par hasard, et je trouve que c'est instructif et surtout parfois réconfortant.

    Alors mon pinceau glisse entre mes doigts comme s'il s'agissait d'un archet de violon, et absolument pour mon plaisir. »

     

  • Les demoiselles des bords de Seine

     

    Courbet

    Gustave Courbet – Les demoiselles des bords de Seine, 1857, musée du Petit Palais, Paris

     

    « Comme un bétail pensif sur le sable couché,

    Elles tournent leurs yeux vers l’horizon des mers,

    Et leurs pieds se cherchant et leurs mains rapprochées

    Ont de douces langueurs et des frissons amers. »

    Charles Baudelaire - Les fleurs du mal, Femmes damnées 

     

    Ce matin, comme chaque jour, nous avions renouvelé la longue et fastidieuse préparation de la pose. Le peintre vérifiait avec précision tous les détails de nos habits. Comme s’il voulait entrer dans notre intimité. Son sourire de jouisseur restait éternellement accroché à son visage. À sa demande, j’avais desserré mon corset, reposé ma tête nue sur mon châle. D'un geste délicat, qui m’énervait parfois lorsqu’il se collait trop près de moi, il avait lui-même relevé le bas de ma robe blanche à motif afin que mes jupons et mes bas apparaissent. « Je veux que l’on voie votre visage, Hélène. Maintenez vos cheveux bruns en arrière, votre oreille doit apparaître ». Il avait rajouté en me fixant : « Gardez les yeux mi-clos, les bras étendus devant vous dans une pose alanguie ».

    Je ressemblais à un mannequin renversé. À mes côtés, mon amie Jeanne, allongée sur le dos, devait coller sa robe rouge-garance près de la mienne. « Pour le contraste », disait le peintre. Son bras gauche soutenait sa tête couverte d’un large chapeau. Des fleurs des champs reposaient sur sa robe. Rester le regard songeur perdu dans le vague, sans bouger le visage, devait être un véritable calvaire pour Jeanne, femme agitée, sans cesse en mouvement. Par instant, elle me regardait en biais. Son visage revêche révélait les pensées sombres de mon amie.

     

  • Un parfum de moka et de térébenthine

     

    Christelle Saïani, roman,

     

    Quel plaisir de retrouver, après « Lumière », un deuxième roman de Christelle Saïani !

    Le style est le même. Seules quelques années de plus l’ont affiné. Je me suis laissé couler dans les mots, cette écriture bien huilée, solidement construite, directe, efficace, des adjectifs qui claquent, des phrases malaxées, triturées, une sensualité débordante.

    Pourquoi ai-je pensé à Guy de Maupassant, mon écrivain préféré ? Le même réalisme sobre, détails simples, précis, descriptions pittoresques, intensité narrative. Une vie.

     

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  • Camille sur son lit de mort

     

    Monet, Camille

    Claude Monet – Camille sur son lit de mort, 1879, Louvre

     

    « La toile fraîche déposée contre le mur, il fixe longuement le portrait de la femme qu’il avait peinte si souvent. Étrangement, il ne l’a jamais sentie aussi près de lui que sur cette toile.

    Sous son voile transparent, Camille lui souriait…

    Tous les souvenirs des jours heureux lui revenaient en masse… Monet revoyait la gracieuse Camille qui posait inlassablement autrefois : la Femme à la robe verte des débuts de leur rencontre, celle dont l’ombrelle violaçait le visage sur la plage de Trouville, les formes flottantes de sa robe qui foulait les hautes herbes d’une prairie d’Argenteuil piquetée de Coquelicots. Il regrettait aussi de l’avoir transformée en Japonaise grotesque. Quatorze années… Des images de tous ces instants de vie qui leur appartenaient dansaient devant ses yeux.

    Il s’assoit face à elle.

    C’était hier. Elle existait à nouveau… » 

     

    Extrait « Camille muse de Claude Monet » publié sur BOD

     

  • Botticelli - La grâce

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    Sandro Botticelli – Printemps, 1485, Galerie des offices, Florence

     

    Les gros yeux clairs de Sandro Botticelli nous regardent fixement. Il a déposé sa signature sur la toile « L’Adoration des mages » :  à l’extrémité droite du tableau, un jeune homme en manteau orange, beau, front puissant, visage énergique, chevelure bouclée.

     

    Quelle incroyable période que celle de la première Renaissance, moment de bouillonnement artistique nouveau dans l’art européen du 15e siècle ! L’art pictural est à la croisée des chemins. Botticelli, doué d’une grâce aristocratique dans sa personne comme dans son art, va devenir l’orgueil de la ville de Florence.

     

    Une nouvelle technique voit le jour… Jusqu’à la fin du Moyen Âge, les peintres peignent à la détrempe à l’eau, la tempera, une préparation plus grasse à la colle de peau ou à base d’œufs comme médiums pour les pigments. L’inconvénient : elle sèche trop rapidement et ne permet pas les retouches.

    Seulement un demi-siècle, au 15e, sépare les toiles de Jan Van Eyck en Flandres de celles de Sandro Botticelli en Italie. Van Eyck, après de nombreuses expériences de vernis, est le premier grand maître à peindre avec des couleurs à l’huile. Il met en valeur une technique basée sur le « glacis » superposant de fines couches de couleurs à base d’huile de lin. Celles-ci acquièrent solidité, souplesse, et deviennent brillantes. Botticelli utilisera les deux techniques. Le plus souvent, il gardera la tempera, avec laquelle il produira ses plus beaux chefs-d’œuvre.

     

    Né en 1445 à Florence, Botticelli fait son apprentissage, à 15 ans, chez le maître Filippo Lippi, un fieffé coureur de nonne. Il s’inspire de celui-ci en peignant des jeunes femmes que les peintres aimaient représenter sous la forme de Madones.

    La plupart de ses tableaux de la première période montrent des Vierges à l’enfant à la maternité attentive, couverte d’un voile aérien, le regard tendrement incliné vers l’enfant.

     

    Je me souviens, lors d’une visite à Avignon, être resté longtemps devant sa magnifique « Vierge à l'Enfant » ou « Madone Campana », peinte en 1467 à l’huile : la Vierge, vêtue de ses traditionnelles couleurs rouge et bleue, tient l'Enfant sur les genoux. D’une main, elle caresse sa joue, avec l’autre elle s'apprête à lui donner le sein. Les formes apparaissent déjà plus douces, avec des attitudes plus complexes que dans les œuvres de Lippi.

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    Sandro Botticelli - La Vierge à l'enfant, 1467, petit palais, Avignon

     

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  • La liberté guidant le peuple

     

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    Eugène Delacroix - La liberté guidant le peuple, 1831, musée du Louvre

    Crédit: Photo (C) RMN Grand Palais (musée du Louvre/ Michel Urtado

     

     

    « — Trinquons au romantisme, Eugène

    Il avala son verre d’un trait. Un éclair sombre passa sans ses yeux.

    — Pauvres gens ! dit-il d’un coup. Comme en 89, savent-ils qu’ils se battent et souffrent pour rien ? Ils ont renversé Charles X pour le remplacer par son cousin Louis-Philippe. La belle affaire… Que vont devenir leurs rêves de réformes, de progrès, d’égalité. L’autorité et l’ordre revenus, ils récolteront quelques médailles et leur vie misérable reprendra.

    Louis-Auguste regarda le gamin aux pistolets.

    — Tu vois, ce jeune garçon à côté de la femme au drapeau, pistolets de cavalerie dans les mains… Enfant de Paris, il symbolise la jeunesse de tout temps révoltée par l’injustice. Tu as mis de la fougue, du plaisir, dans son œil. Son père, qui s’est battu dans la Grande Armée, lui a conté ses exploits. À son tour, il s’enivre de l’odeur de la poudre et exhorte les insurgés. Il n’a pas peur. Peut-il se douter qu’il va mourir dans peu de temps ?

     

    Eugène se taisait, attristé par la mélancolie que son tableau inspirait à Louis-Auguste. Celui-ci finit par dire fataliste :

    — Eugène, comme souvent dans notre histoire, c’est le petit peuple qui se bat, mais ce sont toujours les puissants qui gagnent !

    Delacroix vint vers son ami et le prit tendrement par les épaules.

    — Tu as raison Louis-Auguste. Mais, à chaque nouveau combat, ils continuent d’espérer... »

     

    Extrait du recueil "Deux petits tableaux"  publié chez BOD

    AUJOURD'HUI, LE PEUPLE DOIT TOUJOURS SE BATTRE POUR CONSERVER SA LIBERTÉ.

     

  • Merci Bernard Pivot

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    AUX GRANDS HOMMES LA PATRIE RECONNAISSANTE

     

    Bernard Pivot fait partie de ces grands hommes qui ont fait connaitre et aimer les livres et les écrivains. La patrie peut lui être reconnaissante.

    Un journaliste, bouillon et passeur de culture, peut-il être panthéonisé ?

     

    « Comment croire à une déclaration d'amour dans un mail si le o et le e de cœur ne sont pas entrelacés ? » - Bernard Pivot

     

  • L'âge d'or de Corrège

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    Corrège - Le Mariage mystique de sainte Catherine d'Alexandrie en présence de saint Sébastien, 1527, Musée du Louvre

     

    « Je savais cependant qu’au-delà des aspects techniques, il me faudrait essayer de retrouver cette magie qui fait toute la différence entre une copie, aussi fidèle soit-elle, et son original. Et c’est là que commença l’envie de savoir… »

     

    Je retrouve une deuxième fois, après « Les Grâces de Rubens », la scientifique émérite Sigrid Avrillier, menant en parallèle une carrière de peintre, sculpteur sur pierre et copiste au Louvre. La qualité des livres des éditions Macenta est toujours un plaisir pour les yeux. L’importante iconographie qui accompagne les textes ne peut que réjouir les passionnés de peinture.

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