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que les blés sont beaux

  • Un pré-cadeau de Noël

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    Noël est dans un peu plus d’un mois. Je viens déjà de recevoir un cadeau sous la forme d’un superbe commentaire sur le réseau littéraire Babelio de mon livre « QUE LES BLÉS SONT BEAUX ». Ce commentaire m’a été offert par une lectrice, mon amie Christèle.

     

     

     

    HordeDuContrevent a ajouté une critique   le 7 novembre 2022

     

    Que les blés sont beaux : L'ultime voyage de Vincent Van Gogh de Alain Yvars
     


    Écrire la peinture. Retranscrire avec les mots une façon de peindre, elle-même reflet d'une âme, d'un caractère, d'une façon d'être à la vie, à une époque particulière, à un endroit bien précis.
    Tel est le pari réussi
    d'Alain Yvars (@jvermeer), conteur de peinture, cueilleur empathique de couleurs et de lumières. Se mettant « à la place de », en l'occurrence ici à la place de Vincent van Gogh, Alain Yvars m'a projeté avec émotion à Auvers-sur-Oise en juin-juillet 1890, dernière commune du peintre dont il donne une vision romancée, mais au plus près du réel (sur la base de courriers, de documents, et de la correspondance du peintre), de ses dernières semaines de vie.

    « Un sentiment d'infini…En cette fin d'après-midi, le soleil déclinant léchait de citron vert le champ bordant l'horizon, juste sous les nuages moutonneux qui avançaient lentement sur la gauche ».

    Cette lecture a été une jolie et agréable parenthèse bucolique. Je fus littéralement avec
    Vincent van Gogh, je l'ai vu vivre dans cette petite ville au charme suranné, l'ai imaginé arpenter les bords de l'Oise avec son carnet de croquis ou son chevalet. Assise à ses côtés lorsqu'il peignait, j'ai ressenti sa singularité, sa rage créative, sa façon très visionnaire de manier le pinceau.
    Certains de ses tableaux, dans ce roman, naissent, éclosent, avancent, se terminent, sèchent sous nos yeux, et je profitais du tableau d'ensemble transmis avec brio par les mots d'
    Alain Yvars pour aller voir ensuite le véritable tableau sur internet. Je me surprenais à grossir les images, pour voir de plus près la technique expliquée par le peintre lui-même. La superbe église d'Auvers-sur-Oise, ses pittoresques chaumières, les ciels dont il fait sa prédilection, aux différentes tonalités de bleu et parfois dentelés d'arbres dressés, les champs de blé melliflus parsemés de coquelicots en petites touches sanglantes, ses multiples portraits de femme…Je les ai tous retrouvés, les ai appréhendés selon une approche nouvelle. Ces traits de couleurs en bâtonnets épais donnent une telle énergie à la représentation, un mouvement, un tourment, une âme, ne faisant pas de ces tableaux de simples reproductions, transformant « cette végétation pacifique en un brasier agressif".

    « Les teintes bleues et orangées, accolées, s'harmonisaient parfaitement. Ce n'était pas une simple copie de la nature, j'y voyais une force, un rythme, une vie…Je ressentais l'avancement des nuages, la progression en zigzag des oiseaux, le ploiement des blés sous le vent. Les chemins ondulaient vers un lointain mystérieux ».

    Ces explications sensibles et vivantes m'ont émue. Je n'admirerai plus les tableaux de
    Vincent van Gogh de la même manière désormais. En cela je remercie chaleureusement Alain Yvars, de m'avoir éclairée et, à la différence d'un simple essai ou manuel sur la peinture, la forme romancée convoque également le coeur et pas seulement l'esprit. Il nous dit en 4ème de couverture qu'il est allé à Auvers-sur-Oise où il n'a eu qu'à écouter le peintre. Cela parait si simple et pourtant, pour arriver à une telle empathie, quel travail de recherche (la bibliographie nous le montre), quelle sensibilité, quel amour pour ce peintre et quelle plume ! Oui, il en faut du talent pour arriver ainsi à nous mettre dans la peau de Vincent van Gogh d'une façon si naturelle. L'auteur réussit vraiment à imaginer ce que voyait le peintre. Cela donne un style poétique immersif au centre duquel la nature est omniprésente, où les couleurs règnent en maitre : le bleu, le violet, le jaune, le rouge, des couleurs brutes, intenses, sans mélange, à la cohabitation surprenante. Des couleurs pour ressentir à moins que ce ne soit les sensations mises en couleur, sentiments impétueux, fougueux, explosifs, dont les couleurs seraient les messagères. Influence de l'un sur l'autre et de l'une sur l'autre, la nature guide Van Gogh et semble même être en phase à ses changements d'humeur, étranges prémonitions.

    « Avec le mauve restant sur la palette, additionné de vert, je couvris de virgules le devant ombré de l'église qui parut envahi de larves rampantes, grouillantes, s'élançant à l'assaut des murs. Un court instant un nuage rosé surprit mon attention. Il s'accrocha bizarrement au clocher puis s'effilocha dans l'azur. Je changeai de brosse pour les parties claires. J'ensoleillai le pré devant l'église et alignai ensuite verticalement des bâtonnets ocre sur les deux chemins sinueux qui l'encerclaient. le contour des toits fut souligné de lignes claires irrégulières, contrastant avec le ciel sombre ».

    Quelques mots sur la présence du peintre dans cette commune.
    Vincent van Gogh y est venu pour oublier son mal qui l'a tant fait souffrir dans le Sud, mal psychologique, et pour se soigner grâce aux bons soins d'un certain docteur Gachet. Nous voyons un Vincent van Gogh plein d'élans, d'optimisme, volontaire, souvent joyeux, doutant parfois, sensible, passionné par son art, très proche de son frère Théo qui croit en lui et subvient à ses besoins, le peintre n'arrivant pour le moment pas à percer, sa peinture étant très, trop, visionnaire. Mais Théo et sa femme Jo en sont certains : c'est le plus grand peintre du moment, la reconnaissance de son talent ne saurait tarder. Une dispute au sein du couple qui rencontre des soucis financiers va venir saper la confiance fragile retrouvée. Fragile car depuis sa naissance, le petit Vincent traine une blessure originelle : son arrivée au monde est marquée par le deuil d'un frère ainé mort une année plus tôt qu'il va venir remplacer en naissant le même jour que lui et en portant le même prénom. Héritage tragique. Se sentant être devenu un fardeau pour son frère et un peintre raté, il mettra fin à cette situation en se donnant la mort en pleine nature, en plein jour.

    « Je me prenais pour un visionnaire, je n'étais qu'un halluciné. Ma peinture n'intéressait personne, à part quelques fous comme moi. Une faillite… ».

    Ce livre est également l'occasion de comprendre les influences de van Gogh, ses maîtres à penser, ses affinités dans la peinture, mais aussi en littérature en ce 18ème siècle culturellement très riche. Toulouse-Lautrec, Paul Signac, Pissarro, Monet, Degas, Renoir, Seurat…Impressionnistes et néo-impressionnistes, mais aussi estampes japonaises, les maîtres à penser sont là, évoqués, convoqués,
    Alain Yvars montrant parfois l'influence de l'un d'entre eux sur tel ou tel tableau. C'est très intéressant.


    Alain Yvars réussit avec délicatesse à conter la peinture de Van Gogh, peinture mystérieuse et tourmentée à l'image du peintre, à nous expliquer de façon passionnante son mouvement, son énergie, sa fougue, à travers un style pictural novateur et singulier. En plus de nous présenter un peintre à la fois passionné et fragile dans les dernières semaines de sa vie, il nous offre avec un naturel déconcertant le regard sensible et poétique du peintre d'origine hollandaise. Il le resitue dans son contexte historique mettant en valeur ses influences et mêle à la grande Histoire culturelle, l'histoire intime du peintre. En convoquant le coeur et la raison, ce livre nous permet une immersion culturelle d'une grande richesse et d'une grande poésie.

    « La peinture est un combat dont le peintre ne sort pas toujours vainqueur ».

     

    Merci Christèle

     

  • Des rêves étoilés

     

    Peinture,  Van gogh

    Vincent Van Gogh – Nuit étoilée, 1889, the museum of modern art, New York

     

     

    UNE MERVEILLEUSE ANNÉE 2020 À TOUS

     

     

    Un enfant… L’éveil à la vie. Quoi de plus beau. Un monde inconnu s’offre à lui, tellement vaste… Et puis, parfois, quelque chose d’imprévu survient : la maladie. L’entourage, les médecins, aident les enfants dans ce combat contre l’incompréhensible qui les empêche d’être heureux. Ils ont des projets. Ils rêvent…

    Une association s’est donnée pour mission de réaliser les rêves de ces enfants très gravement malades. Leur offrir la possibilité de s’évader d’un monde de douleur, réaliser leurs rêves, vivre des expériences inoubliables leur permettant de reprendre confiance en l’avenir, tel est le but de l’association Rêves. (http://www.reves.fr/)

     

    J’ai publié en 2019, en autoédition libre, mon roman QUE LES BLÉS SONT BEAUX : L'ultime voyage de Vincent Van Gogh. Les bénéfices procurés par sa vente sous forme de livres brochés ou ebooks ont été reversés à la fin de l'année 2019 à l’association Rêves. C’était peu mais j’espère faire mieux en 2020 avec une nouvelle publication qui va sortir en janvier : Un recueil de nouvelles : CONTER LA PEINTURE. En couleur, cette fois. J’en parlerai bientôt.

     

    Peinture,  Conter la peinture, que les blés sont beaux

     

    JE REMERCIE tous les lecteurs qui ont lu mon livre écrit à deux mains avec Vincent Van Gogh. Ils m’ont offert tout au long de l’année 2019, leur soutien pour le faire connaître sous la forme de chroniques ou critiques qui m’ont beaucoup touchée.

     

     

  • Petit papa Van Gogh

     

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    Vincent Van Gogh - enfant avec orange, 1890, Winterthur, Suisse

     

          Tout le monde sait que Vincent aime les enfants. Ce matin, il a repensé à son enfance et s'est souvenu que Noël arrivait. 

         Avec un peu d'avance, il s'introduit chez vous pour vous offrir à partir de ce matin le téléchargement GRATUIT, durant 5 jours en format Ebook, de son roman QUE LES BLÉS SONT BEAUX : L'ultime voyage de Vincent Van Gogh.

    van gogh, noël, cadeau, que les blés sont beaux

     

         Son offre se terminera jeudi prochain 19 décembre au matin. 

         Il vient également de me faire savoir qu'il venait de faire un petit don à l'Association Rêves qui aide les enfants très malades en leur permettant de s'évader ailleurs le temps d'une journée .

         Alors, à vos tablettes, liseuses, ordinateurs ou smartphones.

         Pour obtenir l'Ebook il suffit de cliquer  ICI

         Comme Vincent est heureux !

     

  • Maryna, pianiste et poétesse

     

         J’ai envie de consacrer cet article de rentrée à une magnifique critique de mon roman QUE LES BLÉS SONT BEAUX reçue en plein mois d’août sur le site littéraire Babelio. Elle m’a touché car elle venait d’une véritable artiste.

     

    peinture, van gogh, que les blés sont beaux, Maryna Uzun

         Je me permets de présenter Maryna dont le parcours m’a surpris car elle est pianiste, poétesse, et utilise les mots de la langue française avec une maestria étonnante :

    Née à Odessa (Ukraine), Maryna Uzun vit en France depuis 1997. Elle est pianiste concertiste, lauréate de la Fondation Cziffra et enseigne le piano classique à Prizma. Elle a appris le français en autodidacte et par amour. Un de ses textes a été retenu pour l’anthologie Le goût d’Odessa (2005, Mercure de France).
    Bibliographie : 2 romans (Le Voyage impaisible de Pauline, Les silences d'Isis), poésies

         Un très court extrait, ci-dessous, de sa présentation dans Babelio de son dernier livre : « Souviens-toi de ton Odessa suivi d’autres poèmes »

     

         Comment changer de ton sans même faire un bond ? Je change de démon : je pense à Odessa ! Et j'entends des accords : l'alpha et l'oméga. Parce qu'avec ma terre, avec mon Odessa, j'ai coupé le contact sans couper le cordon. Je change de cantor, je change de temps fort, je comble des temps morts, je vais jusqu'aux transports. Je pense à mes mentors, les mouettes du vieux port, même au conservatoire, oui, qui m'a fait tant croire. Car avec le recul, l'amour ne fait qu'accroître…

     

     

         Voici sa critique de mon roman :

     

    Ce livre est pour ceux qui vont au musée pour y chercher de l'oxygène.
    Vous n'allez pas le croire : on me l'a offert pour ma fête sans que je suggère quoi que ce soit ! Mais cette coïncidence se révèle moins rare quand on me connaît car j'adore lire sur les grands artistes et la peinture est pour moi une source d'émerveillement infini.
    Donc je devais le lire, cela ne pouvait pas être autrement ! Je devais le lire pour son grand luxe de détails et parce que je suis très friande de belles descriptions. Et là, l'écriture d'Alain Yvars a quelque chose de magique : je ne sais pas par quelles associations d'idées les couleurs de Van Gogh défilaient constamment devant mes yeux pendant ma lecture. Le jaune, le violet, le bleu… Je me suis baignée, je me suis noyée dans cette beauté. J'ai particulièrement apprécié le réalisme du livre. La nature est là, on la respire, elle donne faim, le grand air, ça creuse ! Une grande toile, ça creuse…
    C'est un Van Gogh intime avec ses hésitations, ses peurs, ses ivresses. Alain Yvars entre totalement dans le processus de création, il connaît bien plus de choses sur son héros que ce qu'il nous raconte. Il invente car il le faut pour aller toujours plus loin dans son amour pour ce génie. Humanité et divinité d'un artiste. C'est cela le thème de cette oeuvre pour moi.
    C'est un livre si réussi que je me demandais qu'est-ce que ce serait s'il s'agissait non de Van Gogh mais de Vermeer, le peintre préféré d'Alain ? ! Mais Tracy Chevalier l'a devancé. Quoiqu'il n'est jamais trop tard si le romancier change le point de vue…
    Pour résumer, c'est un livre où j'ai trouvé de l'oxygène et de l'inspiration. Un livre après lequel le pinceau est devenu encore plus vivant pour moi. C'est beau et triste à la fois, la fragilité de l'artiste, une sensation de perte d'un être cher qu'on éprouve à la fin. Un sentiment d'humanité qui monte en nous, une envie d'être plus attentifs à chaque instant de vie, aux êtres qui nous entourent. Ce livre, tout en étant un roman, fait étrangement vibrer l'instant comme un haïku.

     

         Encore merci Maryna

     

     

  • T Livres ? T Arts ?

     

    peinture, écriture, que les blés sont beaux, T Livres ? T Arts ?, chronique, babelioVincent Van Gogh – Branche de marronniers  en fleurs, mai 1890, Fondation Bührle, zurich

     

     

         Une nouvelle très jolie chronique vient de nous parvenir de la part d'Annie, une blogueuse littéraire angevine. Vincent que j'ai prévenu a du mal à contenir sa joie et envoie des tas de bises à Annie pour la remercier. C'est un sentimental...

         La chronique peut être vue en entier sur le site de notre charmante blogueuse :

     

    http://tlivrestarts.over-blog.com/2019/05/que-les-bles-sont-beaux-d-alain-yvars.html

         

         Pour le plaisir et pour en garder une trace dans mon blog, je publie ci-dessous la très belle fin de la chronique :

     

    Ce roman est une ode à la création artistique, servie par une très belle plume, profondément humaine, délicate et tendre. Alain YVARS nous brosse le portrait d'un peintre porté par la passion, enivré par la beauté de la nature, il nous fait, le temps d'une lecture, partager des moments d'immense bonheur. Il est le fruit de longues années de recherches, Alain YVARS s'est notamment largement inspiré des correspondances de l'artiste, des archives de la Bibliothèque Nationale de France. Que j'aime découvrir l'art par la voie de la littérature, et je crois que je ne suis pas la seule ! J'ai par ailleurs désormais une furieuse envie d'aller découvrir ce village du Val d'Oise où le peintre y a vécu des heures heureuses avant le destin tragique qu'on lui connaît.

    La démarche d'Alain YVARS est à souligner à plus d'un titre, mais s'il en était un à retenir, je saluerai le fait de reverser l'intégralité des bénéfices du roman "Que les blés sont beaux" au profit de l'Association Rêves qui permet à des enfants malades d'aller jusqu'au bout de leurs rêves. N'est-ce pas là un très beau geste que... sans aucun doute, Vincent VAN GOGH aurait apprécié à sa juste valeur.
     

     

    C'est trop Annie ! Bon je vous pardonne !

    Mille mercis.

    Alain

     

  • Nadine et QUE LES BLÉS SONT BEAUX

         Nadine Doyelle, chroniqueuse sur Facebook, à qui j'avais envoyé mon roman l'a lu avec une vitesse remarquable et m'a fait ce matin dans Facebook une jolie chronique :

     

     

    chroniques, que les blés sont beaux, nadine doyelle

     

    Bonjour à tout le groupe 

    Voici mon ressenti sur le livre d’Alain Yvars

    Que les blés sont beaux

    Une belle découverte, à lire impérativement

    Belle journée 

     

    Que les blés sont beaux.
    Alain Yvars
    250 pages
    Sorti le 28/11/2018

     

    Chez Independently published AMAZON.FR

    Quand Alain Yvars et Vincent Van Gogh me contactent pour une demande de service de presse, je dis oui immédiatement ! Car cette proposition est très originale autant par la formule de la demande que par la lecture.

    Pour une fois, je ne procéderai pas comme d'habitude pour écrire mon ressenti. Je vous dirais simplement que ce roman est divisé en 3 parties débutant le 17/05/1890 jusqu'au 27/07/1890. Deux petits mois où Vincent Van Gogh, qui après un séjour dans le sud de la France et surtout après son hospitalisation dans un asile psychiatrique va rencontrer le docteur Gachet à Auvers-sur-Oise sur la recommandation de son frère Théo. À son arrivée dans ce village, il se sent terriblement bien. Il va rester dans ce village pour se ressourcer et laisser parler son cœur, sa tête et ses mains librement dans ses tableaux. Je ne me suis pas ennuyée une seule seconde pendant cette lecture. Un feu d'artifice haut en couleurs a explosé dans ma tête et mon cœur. L'auteur a une plume fluide, son écriture est tellement bien détaillée que l'on a l'impression de tenir ou d'être le pinceau de l'artiste ! On voyage avec Vincent à travers sa peinture, ses pensées, ses peurs, ses délires ou pas, ses rencontres....... Un énorme travail de documentation a été produit par l'auteur. Une écriture pleine d'émotions, de poésie. J'ai été ravie, heureuse de découvrir et de faire la connaissance de Vincent Van Gogh par ce roman. Même si je n'ai pas beaucoup de connaissance dans la peinture. Cela ne m'a pas empêché d'apprécier cette magnifique lecture.
    De plus les bénéfices de la vente iront intégralement à l'association Rêves, je vous donne le lien si vous voulez faire plus ample connaissance avec cette association : http://www.reves.fr/

    A lire absolument. Tout simplement magnifique

     

    Résumé

    Une prémonition ? : « Je voudrais faire des portraits qui un siècle plus tard aux gens d’alors apparussent comme des apparitions » En écrivant cette phrase à sa sœur Wil, le 5 juin 1890, Vincent Van Gogh pouvait-il se douter que son souhait se réaliserait ? Je me suis rendu dans cette petite commune d’Auvers-sur-Oise où la présence de Vincent Van Gogh est toujours perceptible. Je l’ai rencontré. Il est devenu un ami. Je n’ai eu qu’à l’écouter.Tour à tour joyeux, mélancolique, il m’a raconté, au jour le jour, son activité durant les deux mois qu’il a passés dans cette ville où il était venu pour oublier son mal et se soigner. Intarissable, il m’a fait tout partager : ses joies, ses doutes, ses rencontres, sa tendresse pour son frère Théo. Il m’a décrit ses journées occupées à courir la campagne en quête de motifs et de modèles. Au sommet de son art, il peignait parfois plus d’un tableau par jour. Il m’a expliqué sa technique, sa passion pour cette peinture qui lui faisait dire : « Il y a du bon de travailler pour les gens qui ne savent pas ce que c'est qu'un tableau ».

     

    Le lien pour vous procurer ce roman

    Que les blés sont beaux: L'ultime voyage de Vincent Van Gogh

    https://www.amazon.fr/…/…/ref=cm_sw_r_cp_apa_i_3LfMCbS4A4JGH

     

    Ma réponse ce jour :

    Cette chronique m’a beaucoup surpris. 
    Ce roman sur Vincent Van Gogh parle beaucoup de peinture et décrit souvent l’artiste en train de peindre les magnifiques toiles faites à Auvers-sur-Oise.
    Etonnement Nadine, qui dit avoir peu de connaissance en peinture, a parfaitement compris le but de ce livre : faire connaître la vérité de Van Gogh qu’il nous donne durant ces deux mois. Elle a même eu la sensation d’être le pinceau du peintre… 

    Bravo et merci Nadine pour la rapidité et la qualité de cette chronique.