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  • Van Gogh écrivain : Arles - 8. Septembre 1888

     

    CORRESPONDANCE - EXTRAITS CHOISIS

     

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    Vincent Van Gogh – Saules au coucher de soleil, automne 1888, Kröller-Müller Museum, Amsterdam

     

              L’influence du mistral fut certaine sur Vincent Van Gogh. Sa violence se décupla quand il se vit aux prises avec le fougueux vent de Provence. Pas de temps à perdre, peindre vite, en touches brutales, heurtées, mais sûres ; impossibilité de « peloter » le motif, comme disent tous les peintres, à la manière de Renoir. Pas de caresses ; des coups de brosse sautant sur les courtes accalmies. Et défendre encore son chevalet, sa toile, tout cela qui gémit et menace à toute seconde de s'abattre sous les cinglantes lanières de la tempête ! Il écrit à son frère Théo : « Je t'ai déjà dit que j'ai toujours à lutter contre le mistral, qui empêche absolument d'être le maître de sa touche. De là le « hagard » des études. »

                                                                     Gustave Coquiot

     

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  • Concours de nouvelles « Quatre Lignes »

     

          J’avais hésité longtemps…

          Depuis plusieurs années, je publiais sur mon blog des récits, nouvelles courtes liées à ma passion pour la peinture, contées sur le ton de la fiction romanesque. J’avais également publié deux récits plus longs, romancés, inspirés par la vie et l'oeuvre des grands peintres hollandais Vincent Van Gogh et Johannes Vermeer.

          J’avais remarqué cette deuxième édition du concours de nouvelles « Quatre Lignes » sur le site de Patrick Fort « Lire, Ecrire, En parler ». La lauréate de la première édition avait été Sandrine Virbel avec son excellente nouvelle « Abattez les grands arbres ». Patrick Fort organisait le concours, conjointement avec les « Editions Le Solitaire » et le site « Les Scribouilles ».

          Je m’étais interrogé : « Qu’irais-je faire dans un concours de nouvelles ? »

          J’avais fini par me laisser tenter. J’avais remanié et rallongé une de mes nouvelles anciennes illustrant des toiles du peintre Auguste Renoir, lui avais donné pour titre « Rose », et l’avais envoyée.

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